Toujours un opinel dans la poche, Maël a l’habitude de récolter et travailler des morceaux de bois sur son chemin. Dans son petit atelier, il fabrique et sculpte à la main avec des outils restaurés par ses soins, des arcs, des flûtes, des cuillères, des bancs à planer, et autres objets dans des bois rapportés de ses expériences. Il est attiré surtout pas la sculpture et la lutherie.
Aujourd’hui, ses principales attentes vis-à-vis de Koad an Arvorig sont les rencontres, le partage de connaissances et la convivialité, que ce soit lors d’ateliers, en forêt ou dans le bocage, car faire partie d’un réseau c’est aussi l’opportunité de rencontrer de potentiels collaborateurs et des personnes d’expérience auprès de qui continuer à se former.
Enfin, pour Maël adhérer à Koad an Arvorig comme au réseau des alternatives forestières est aussi un acte militant en faveur d’une gestion forestière respectueuse des écosystèmes, de la valorisation du bois abattu près de chez nous et de la transmission des savoirs-faire.
Drôle de coïncidence, la rue où Maël est né s’appelle la rue du Bois !